photo Exposition - Art en Chapelles : Golnaz Payani

Exposition - Art en Chapelles : Golnaz Payani

Exposition, Culte et religion

Courvières 25560

Du 06/07/2024 au 25/08/2024

Organisé par l'association Art en Chapelle. Quand l'Art contemporain dialogue avec les sites religieux du Haut-Doubs. Artiste pluridisciplinaire franco-iranienne, Golnaz Payani est née à Téhéran en 1986. Elle y obtiendra une licence de Peinture à la Faculté d’Art et d’Architecture. En 2009, elle quitte son pays natal pour la France, où elle poursuit ses études. Elle reçoit le diplôme National Supérieur d’Expression Plastique (DNSEP) de l’École d’Art de Clermont-Ferrand en 2013. « Mon départ pour la France a eu une influence considérable sur mon travail plastique. J’ai développé mon intérêt pour ce qui était désormais hors de vue, disparu et invisible et j’ai renoué avec mon amour du tissu ». Ses œuvres explorent divers moyens tels que la vidéo, l’installation, la performance, la poésie et les travaux sur tissus. Ces derniers, omniprésents dans ses œuvres fascinent par leur capacité de cacher comme de dévoiler, de réunir le visible et l’invisible. Selon elle, le textile « fait office à la fois de frontière et de lien ».

photo NOSTALGIE 2175 : pièce de théâtre au CDN

NOSTALGIE 2175 : pièce de théâtre au CDN

Théâtre

Besançon 25000

Du 19/01/2022 au 20/01/2022

Un accident environnemental a fait monter la température terrestre à un niveau insupportable : les êtres humains ne peuvent vivre sans tenue de protection, les femmes ne peuvent enfanter sans risquer leur vie. Dans ce monde post-apocalyptique, un amour fou naît entre Taschko et Pagona, qui attend un enfant. Anne Monfort, habituée à aborder frontalement le politique ou l’actualité, se confronte, avec Nostalgie 2175, à un univers parallèle qui entre en résonance avec le nôtre. Quel amour peut-il éclore entre deux êtres qui ne peuvent se toucher ? À quoi bon décider d’enfanter dans un monde voué à sa perte ? Quelle place pour l’art quand on lutte pour la survie ? Le texte de la grande dramaturge allemande Anja Hilling alterne scènes dialoguées, faites d’une langue brute, à l’image du monde dépeint, et parole poétique adressée à l’enfant à naître, où le verbe se fait doux et musical. De même que Taschko peint des scènes tirées de vieilles cassettes VHS, seuls restes de notre culture cinématographique, les comédiens travailleront leurs corps comme les images de tableaux perdus, mais encore vibrants dans la mémoire collective. Entre nostalgie et désir, la scène sera le lieu[...]